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C'est la nouvelle tendance, avec vos amis
dans un café ou dans la famille après le repas: la chicha ou narguilé et de fureur. Salon
Rien qu'à Paris compte déjà 150
ouverture en 2001 le célèbre Café de l'égypte. Les sites internet donnant des conseils sur le
de son utilisation se multiplient.« Tous les jeunes feront», témoigne un tabac parisienne
qui voit une augmentation de ses ventes de tabac convient. Si l'Observatoire des drogues et des
toxicomanie jusqu'à présent n'a pas évalué ce phénomène addictologues commencent à entrer,
« diabolisation
»
« Beaucoup de jeunes pensent narguilé inoffensif, certains
ne savent même pas qu'ils fument vraiment de tabac souligne Denis Pedowska, ces enseignants
en cours d'exécution dans le travail d'information sur le terrain. Les autorités des états-unis
inquiétés les premiers de cette mode est apparue à eux dans le milieu des années 1990.
« épidémie». Leurs conclusions: la fumée de narguilé, bien sûr, de plus doux, de sorte que l'eau retient
irritants aussi dangereux que la cigarette. Session
temps de produit autant de goudrons et de nicotine, un facteur de dépendance, que la cigarette. Le tabacologue
Bien qu'ils ont été confirmés par un
dans le rapport de l'OMS publié en août dernier, il voit« la diabolisation de l'objet traditionnellement
L'utilisation de charbon allumage rapide,
inconnu de la composition, de la combustion du tabac a contribué à sa production. Kamal Chaouachi
vous encourage à penser à un autre système d'allumage, électrique.
la première Tabakitor,
Peut-être Shish'de l'Art commencera ce mois-ci sera-t-elle plus de succès. Le périphérique
pour les bars, restaurants et discothèques fonctionne sur le gaz et avec des capsules de café prédosées,
et le café.« Sa mise en œuvre prend moins de dix secondes, explique Philippe
Giraudière, designer. Et pas besoin de le savoir-faire de la chicha-man. Un autre frein à la consommation
Or« dans le cas d'une utilisation régulière, le risque de cancer et de maladie pulmonaire obstructive chronique
sont les mêmes qu'avec la cigarette souligne le professeur Robert molimard, tabacologue
à l'hôpital Paul Guiraud.